Si depuis 1945 les images des camps et les récits de la Shoah sont devenus l’une des premières références de l’horreur, depuis une quinzaine d’années un large public est confronté à la diffusion sans filtre et sans commentaire d’images et de récits directs de la violence et de la mort. Entre refus du voyeurisme et refus d’édulcoration, quelle est la bonne attitude à adopter pour les musées dont la mission est d’éduquer contre la violence ?
Registration : http://www.memorialdelashoah.org/evenements-expositions/rencontres/faut-montrer-images-violences-extremes.html
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